Sonic Revolution
“The earth cannot move without music. The earth moves in a certain rhythm, a certain sound, a certain note. When the music stops the earth will stop and everything upon it will die.” Sun Ra
Rinse France
Ce live, c’était une heure à la radio, en direct, avec mes machines.
Analog only : boîtes à rythmes, pédales, synthés.
J’étais bien stressé·e avant de commencer. Stressé·e à l’idée d’aller exactement là où je voulais : tenir la narration, travailler les textures, faire danser mais aussi faire écouter, accepter de m’égarer.
Le contexte de la radio et du direct était nouveau et franchement hyper challengeant. Tout est allé très vite. Vraiment très vite. L’installation s’est faite avec des ajustements de dernière minute, et malgré l’urgence, il y avait une vraie beauté dans cette vitesse-là, dans l’adaptation permanente, un terrain que je connais grâce à la performance.
Erna, la personne qui m’invitait m’est chère, donc je me suis tout de suite senti·e enveloppé·e. Et puis deux amis ont débarqué en studio. Ça a ouvert quelque chose. La conversation que j’ai avec mes machines est devenue plus vivante, plus adressée. Ça m’a encore plus plongé dedans, je n'arrêtais pas d’y penser : à quel point j'aimais composer de la musique pour des corps en mouvement. Un vrai défi, intense, parfois fragile, mais nécessaire. Et clairement une expérience que j’ai hâte de recommencer, surtout en concert ou en club.
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This live set was an hour on the radio, live, with my machines.
Analog only : boîtes à rythmes, pédales, synthés.
J’étais bien stressé·e avant de commencer. Stressé·e à l’idée d’aller exactement là où je voulais : tenir la narration, travailler les textures, faire danser mais aussi faire écouter, accepter de m’égarer.
Le contexte de la radio et du direct était nouveau et franchement hyper challengeant. Tout est allé très vite. Vraiment très vite. L’installation s’est faite avec des ajustements de dernière minute, et malgré l’urgence, il y avait une vraie beauté dans cette vitesse-là, dans l’adaptation permanente, un terrain que je connais grâce à la performance.
Erna, la personne qui m’invitait m’est chère, donc je me suis tout de suite senti·e enveloppé·e. Et puis deux amis ont débarqué en studio. Ça a ouvert quelque chose. La conversation que j’ai avec mes machines est devenue plus vivante, plus adressée. Ça m’a encore plus plongé dedans, je n'arrêtais pas d’y penser : à quel point j'aimais composer de la musique pour des corps en mouvement. Un vrai défi, intense, parfois fragile, mais nécessaire. Et clairement une expérience que j’ai hâte de recommencer, surtout en concert ou en club.
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